L’équitation est considéré comme un des plus beaux-arts. Comme les plus fines traditions occidentales, l’équitation académique est née dans l’Italie de la Renaissance, lorsque les Pignatelli, Grisonne ou autres Fiaschi, inventèrent de véritable chorégraphie à partir des mouvements guerriers les plus logiques. (Sophistiqués).
1. Histoire :
Dégagent une rare émotion esthétique, l’équitation devint un art prisé des cours européennes, tout en restant liés aux technique de la guerre. Il en est ainsi du pas espagnol, cette allure d’une étonnante noblesse (= marche avec antérieur tendu) qui servait à fendre les rangs ennemis, tandis que la plus difficile (complexe) des figures « la cabriole » (détente aérienne et simultanée des 4 membres), pouvait permettre de se dégager en cas d’encerclement.
- La croupade à une ruade à action de ruer.
- La courbette au cabré
- La cabriole au bond du poulain
François Robichon (1687-1751)= « le père » de l’équitation ! = enseigna dans la légèreté tous ce qu’il avait pu découvrir sur l’équitation !
La Yougoslavie = ville espagnole ! à Archiduc Charles d’Autriche = fondateur de la race « lippizan » ! à (Haras du Lippiza = que des lippizans = race espagnole !) À partir de la race « andalou » à race espagnole !
Andalou = croisement entre pur-sang arabe et jument de souche espagnole.
Nino Oliveira = (mort=1989) à plus grand maître des temps modernes = pratiquer des figures avec L’ANDALOU et pas le lippizan !
2. Le savais-tu ?
L’école la plus célèbre au monde est celle de VIENNE (Espagne).
Pour réaliser une croupade = le cheval ru, tend ses membres postérieurs et laisse ses antérieurs sur le sol. La courbette à l’inverse exige une élévation de l’avant main !
Le cheval a été apprivoisé par l’homme bien après le chien et la vache, mais a joué ensuite pendant des siècles un rôle capital dans l’histoire de l’humanité avant l’arrivé des automobiles.
Première approche :
Pour les hommes de Cro-Magnon le cheval n’était encore qu’une proie à chasser pour sa viande. Les 1ère traces de domestication du cheval ont était retrouvées en Ukraine et datent de 3 500 ans avant notre point de départ de chronologie particulière. Le cheval a dabors été élevé pour servir de nourriture puis pour l’exploitation de sa force (attelage, bât…) ensuite seulement on a osé l’enfourcher comme moyen de déplacement en inventant dabors le mors , puis la selle. Le 1er traité d’équitation, que l’on doit a Xénophon, date 4ième siècle avant notre point de départ de chronologie particulière.
L’Age d’or :
Pendant des siècles, le cheval fut l’outil quotidien du paysan, du voyageur, ou du facteur et bien sûr du soldat. L’équitation « savante », ou haute école est apparue au milieu du XVIème siècle en Italie puis en France perpétué au cardre noir de Saumur. L’art équestre devient le passe temps des rois d’Europe.
Déclin et rennaissance :
Ce n’est qu’après la seconde guerre mondiale, avec l’essor de l’automobile, que l’utilisation du chevala coommencé. En 1960, il n’y avait plus que le tiercé. Dans les années 70, l’équitation de sport et de loisirs a trouvé de plus en plus de succès auprès des jeunes et aujourd’hui le cheval est de retour aux côtés e l’homme comme sa plus noble conquête, non comme un outils mais comme un AMI.
Un cheval historique :
BUCEPHALE, le cheval d’ALEXANDRE DE MACEDOINE, avait peur de son ombre. Il ne pouvait être monté que face au soleil. Bucéphale périt à la bataille d’Hydaspe en 326 avant notre point de départ de chronologie particulière.
L’ANCÊTRE DU CHEVAL:
L’Eohippus était de la taille d’un petit chien et avait 4 doigts aux pattes avant. Il se nourrissait de feuillage. Il vivait sur le continent Américain il y a 60 millions d’années.
